Thérapie brève psychanalyse psychothérapie


Psychanalyse - psychothérapie en ligne -thérapie de couple - 35€ la séance d'une heure

C'est par « ma » psychanalyse que j'ai pu retrouver la mémoire de ce que j'avais vécu dans l'enfance et surtout ses influences dramatiques sur ce qu'a été ma vie d'adulte.

Comment se déroule une consultation ?

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La psychanalyse, souvent, ne peut pas par sa longueur et son coût répondre à l’attente des personnes en situation d’urgence trop souvent rencontrée. De plus, comme les consultations ne sont pas remboursées par les caisses d’assurance maladie, la psychanalyse n’est pas une solution thérapeutique à portée de toutes les bourses.

Image "Scène d'un naufrage" ou - Le Radeau de la Méduse - Auteur - Jean - Louis Théodore Géricault - Ce tableau représente un épisode tragique de l'histoire de la marine française : le naufrage de la frégate Méduse, qui s'est échouée sur un banc de sable au large des côtes de l'actuelle Mauritanie, le 2 juillet 1816. Au moins 147 personnes durent se maintenir à la surface de l'eau sur un radeau de fortune, seuls quinze embarquent le 17 juillet à bord de L’Argus, cinq encore mourront peu après leur arrivée à Saint-Louis du Sénégal, après avoir enduré la faim, la déshydratation, la folie et même le cannibalisme.

Tout comme la philosophie, bien qu’étant dans une recherche commune mais souvent diamétralement opposée, la psychanalyse peut devenir aussi une vocation. Il est certain que dans ce cas, elle sera interminable. Dans ce cas aussi, tant que l’étude ne pourra se réaliser ailleurs que sur le divan du psychanalyste qui l’accompagne, les résultats risquent de rester stériles et les séances ne devenir qu’un lieu de discutions. Analyser le déroulement de sa propre psychanalyse est possible, nous l’avons fait. Le résultat : « la psychanalyse intensive brève »

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Dans un but thérapeutique (ce qui est le plus souvent demandé au psychanalyste) la psychanalyse traditionnelle ne correspond pas souvent à ce que le « patient/client » attend. Faut-il pour cela refuser l’aide qui est demandée ou faut-il adapter les séances et leur contenu à cette demande ?

Image Portrait de Charles et Georges Durand Ruel-Auteur - Pierre Auguste Renoir (1841-1919) - Domaine Public

Témoignage tout à fait personnel : je n’avais pas entrepris une psychanalyse qui dura cinq ans à raison de trois séances par semaine chez la même  personne, dans l’intention d’être un jour psychanalyste mais pour trouver l’origine et réponses à mes problèmes personnels et aux problèmes extérieurs qui pourrissaient ma vie et celle de mon entourage. Au cours de ces cinq années, des événements assez graves sont venus s’ajouter à ceux là même qui m’avaient amener à la psychanalyse. Je sais maintenant qu'ils auraient pu être évités.

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Par la suite, j'ai eu la chance de rencontrer une personne dans la même situation que moi, animée tout comme moi du désir de vouloir comprendre. Ensemble, nous avons analysé réciproquement le déroulement de nos différents parcours en psychanalyse. Il nous est vite apparu que dans la méthode psychanalytique couramment appliquée, il y manque un élément essentiel, incontournable pour obtenir de véritables résultats. En effet, dans la sacro-sainte « associations libres », par le fait même qu'elles ne soient que toujours libres, le patient ne fait que survoler son passé apparent sans jamais pouvoir s'arrêter sur les événements forts qui ont perturbé sa vie. J'aimerais rencontrer ici, un psychanalyste qui ne ne va pas crier : «  c'est faux, c'est justement le but des associations libres ! ». Ce cri est tout à fait normal et juste dans leurs cas, vu qu'il n'ont jamais connu d'autres formes d’analyse,on ne peut de ce fait que les comprendre et les en excuser.

Image La Grèce sur les Ruines de Missolonghi (1826) - Auteur Eugène Delacroix (1798-1863)- Domaine Public

Voici ce que nous développons plus loin : Pour nous qui avons poussé l'analyse à l’extrême, nous pouvons affirmer qu'il est très difficile, voir impossible de retrouver les situations difficiles qui sont en mémoires inaccessibles car verrouillées naturellement pour préserver chacun des émotions dramatiques qui ont été vécues dans ces situations. C'est justement parce que ces associations sont libres (ci-dessus) que l'analysant va immanquablement et tout naturellement éviter l'accès à ces mémoires fermées !

Si l'explication paraît compréhensible, son application n'est pourtant pas simple voir impossible pour les psychanalystes qui n'ont pu la connaître au cours de leur analyse. C'est une réalité, il est possible de ne plus faire avec !

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Image Eve (Ne Pas Ecouter) - Auteur Paul Gauguin(1848-1903)- Domaine Public

Pour tous ceux que la psychanalyse répugne (vu ce que ce mot véhicule, tout comme d'ailleurs tout ce qui commence par « psy...quelque chose »,c'est normal!) mais qui restent intéressés à retrouver ces mémoires oubliées, nous avons mis en place une méthode d'analyse des rêves qui peut en donner l'accès. Cette méthode est donnée gracieusement sur ce site, dans le lien « interprétation des rêves »

Pour résumer, sur les résultats de nos recherches, nous avons élaboré la « psychanalyse intensive brève » qui permet suivant notre forme de travail, de donner aux patients ce qu'il attend de ses consultations qui ne sauraient souvent pouvoir s'étaler sur plusieurs années. Nous sommes parvenus à de très bons résultats en 5 séances de 3 heures réparties sur un maximum de 3 semaines, d'où le nom de « psychanalyse intensive brève ». Le travail qui s'y fait est tout aussi éprouvant pour le psychanalyste que pour le patient, c'est équitablement normal. Il est à noter toutefois que notre but ici, n'est pas de construire une clientèle mais plutôt d'informer que ça existe !.

Dans cette forme d'analyse, les résultats sont à la hauteur de la peine que chacun y fournit : celle du patient à s'arrêter là sur ce qu'il voudrait s'échapper, au psychanalyste de se concentrer sur ce qui lui est dit et détecter ce que le patient cherche à fuir afin de pouvoir l'y accompagner. Sachez bien que dans ce genre de travail, si l’accompagnement est tout sauf une sinécure, si les émotions revécues dans les situations retrouvées sont souvent à la limite du supportable, dans l'après coup, c'est tout l'inverse qui apparaît ! Le chemin étant tellement difficile que dans cet instant, il serait désastreux et irrespectueux d'arrêter la séance pour des raisons de temps imparti. Cela serait comme laisser repartir quelqu'un avec les « tripes à l'air » pendant une opération, sous prétexte que le temps alloué est dépassé! A bon entendeur, salut !

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Nota : pour revenir sur le sujet très controversé du rôle de « l'argent dans la cure », nous pouvons affirmer avant tout que le patient paye en argent et en émotions pour se défaire de ce qu'il à subi et lui pourri la vie inconsciemment et que le psychanalyste se fait rémunérer pour son expérience acquise dans les mêmes conditions. Dans ce cas, si le tarif est ajusté aux possibilités de chacun, quoi de plus normal ? Le principal n'est-il pas, avant tout, que la psychanalyse puisse un jour être le moyen d'accéder à la compréhension de la réalité humaine et ainsi arrêter la répétition des actes et comportements inconscients qui rendent impossibles tous les changements de plus en plus désirés pour améliorer le bien-être individuel et collectif. Cela sera impossible aussi, sans un changement radical de la méthode psychanalytique pour que la psychanalyse redevienne ce que chacun en avait senti et attendu! (ce qui d'ailleurs, en avait fait sa popularité!)

Image L'Or - Peseur 1654 - Auteur - Salomon Koninck (1609-1656) - Domaine Public