Psychanalyse - psychothérapie en ligne -thérapie de couple - 35€ la séance d'une heure

C'est par « ma » psychanalyse que j'ai pu retrouver la mémoire de ce que j'avais vécu dans l'enfance et surtout ses influences dramatiques sur ce qu'a été ma vie d'adulte.

Comment se déroule une consultation ?

Le trou noir de la psychanalyse

Pourrais-je me considérer psychanalyste sans prendre en considération ce grand trou noir impénétrable qui rappelle à chaque réflexion, que l’essentiel m’échappera toujours ?

Que ce grand mystère nous soit fermé est normal car l’essentiel de la vie n’est pas de la passer à chercher ce qu’on a été avant de naître et ce qu’on sera après la mort.

Il est à rappeler que n’est noir que ce qui retient les lumières ! Il est donc difficile d’en être éclairé où d’y en apercevoir quelque chose.

Je sais, vous m’attendez sur le trou noir !

Ce n’est pas du trou noir du cercueil que l’on couvre de terre, ni du trou de mémoire qui apparaît dans certaines situations bien que cela puisse y ressembler.

Ne pas se souvenir de quelque chose que l’on sait avoir en mémoire malgré les efforts qu’on y met pour s’en rappeler est souvent pénible suivant l’importance que l’on y met.

On sait malgré tout que ça va nous revenir !…. Plus tard !

Mais il y a d’autres trous de mémoire!

On ne le sait pas, on pense tout bonnement que les souvenirs ce sont volatilisés, qu’ils n’existent plus et pourtant, ils sont là et ont une énorme influence sur notre vie, nos choix, nos réactions. On est loin de se douter que nous avons encore en mémoire les événements marquant de notre enfance, de l’avant naissance, des premiers regards qui nous sont posés.

On est loin de se rappeler qu’à la naissance, nous avons su lire les pensées qui étaient derrière ces regards ! Et pourtant nous les avons en mémoire !

Comment croire que, faute d’autres repères et de miroir, nous nous sommes senti n’être que ce que ces regards on reflété sans pour autant être la réalité !

On est loin de pouvoir penser que suivant ces regards, il a été parfois difficile et parfois impossible de connaître notre vraie personnalité.

Libre à vous d’y croire ou pas ! C’est de toute façon normal ! Bien des psychanalystes en doutent eux-mêmes ! D’ailleurs c’est dommage et pour eux et pour leurs patients qui devront faire preuve de patience quand aux résultats !

Pourquoi ne pas s’acharner à soigner une blessure au pied alors qu’il serait facile de contrôler avant tout, s’il n’y a pas un caillou dans la chaussure ! Cela ferait gagner du temps d’un coté mais perdre le reste de l’autre ! D’ailleurs aussi, pour y croire, il faut avant tout en avoir fait l’expérience !

Nous l’avons faite sur nous et ensuite avec d’autres, juste ce qu’il fallait, avec toutes les précautions et avertissements possibles car l’expérience est déjà très éprouvante au premier niveau! Mais les résultats en valent l’effort ! La compréhension éclaire ! On n’en sort jamais comme on y est entré. Comprendre, c’est 80% de la guérison.

N’oublions jamais que la psychanalyse est avant tout un outil thérapeutique.

Parenthèse : C’est sur nos découvertes qu’il y a quelques années, nous sommes montés à Paris à la SPP, la société psychanalytique de Paris, à la rencontre des plus grands, espérant y trouver des personnes à qui en parler et éventuellement, le plus humblement possible, échanger quelques mots sur les applications envisageable, pensant qu’ils connaissaient le sujet. A notre stupéfaction, nous sommes tombés devant un mur………. une confrérie fermée à tous ceux qui ne font pas partie de ce qu’ils considèrent comme étant des élites, puisque médiatisées !

Pour finir ça sent le moisi tant c’est fermé. Rien, mais absolument rien à voir avec l’idée personnelle que nous nous faisons de la psychanalyse ! C’est triste ! Idée personnelle mais très partagée avec les personnes travaillant sur le terrain de l’handicap qui espèrent trouver des outils dans leurs conférences ! Quinze années plus tard, rien n’a changé, on s’en aperçoit sur le net !Nos soi-disant élites en la matière, sont restés dans leur masturbation mentale collective ou chacun veut épater l’autre par les théories qu’il va produire, théories toutes aussi stériles les unes que les autres et totalement inutilisables, voir néfastes à la profession!

Vous saurez excuser mes propos, si je vous dit que je les tire de ce que m’a lancé un livreur : la psychanalyse, c’est de la masturbation mentale. Je dois avouer que, vu les résultats, je ne l’ai surtout pas contredit !

J’ai du mal à comprendre que ces maîtres en la matière insistent dans cette voie alors qu’aujourd’hui, la majorité de ceux qui ont besoin d’aide, fuit tout ce qui est en lien avec la psy en général, la psychanalyse en particulier, au détriment des bons praticiens qui, faute de clientèle, galèrent financièrement.

Pourquoi changer ? Faute de ne connaître autre chose, nos sommités sont admirées dans leurs activités intellectuelles indéchiffrables, riches en vocabulaire impressionnant mais incompréhensible aux non initiés. Le pire, c’est qu’ils arrivent à en vivre (subventions, conférences, livres, professorat et autres).

Nous sommes vraiment désolés de s’apercevoir que nous sommes les seuls à avoir découvert le chemin qui mène à effleurer les raisons de notre existence.

Sachant que certains d’entre eux écouteront cette vidéo jusqu’au bout, ne serait-ce que pour savoir ce que nous y balançons et que d’autres pourraient entendre, je souris d’avance de la névrose qu’ils ne manqueront pas de nous coller.

A ma connaissance, je n’ai encore jamais vu une personne dépressive s’être guéri en lisant les œuvres de Lacan ou autres ! Les misérables de Victor Hugo lui seront certainement plus bénéfiques !

Quel gâchis de temps à l’avantage des antidépresseurs ! Antidépresseurs qui créent un trou dans les interconnexions du cerveau mais qui n’a rien à voir avec le trou noir que nous voulons vous parler !

Si ce que nous disons vous intéresse, dans l’attente d’une prochaine vidéo, vous pourrez retrouver l’écrit de celle-ci et son complément sur notre site internet. Il représente aussi une part de notre travail qui par ailleurs, est loin de nous être lucratif, pas plus que cette vidéo !

Vingt années de recherche et de pratique, dont sept années de psychanalyse didactique de surcroît, à raison de trois séances par semaine peuvent certainement justifier ces propos.

Qu’à cela ne tienne, n’étant plus tout jeune, nous avons décidé d’un commun accord, de ne pas rejoindre notre trou noir sans avoir tout tenté pour transmettre les résultats de nos recherches et leurs applications !

Vous n’êtes pas sans douter que tous vos commentaires et questions seront les bienvenus, ici ou sur notre forum qui, nous l’avouons, a bien de la peine à décoller mais ce n’est pas le plus important. A bientôt !