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Ce que contient principalement notre livre :

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- L’étude de quelques 60 plantes médicinales existant dans la plupart de nos régions, leurs usages dans les soins,

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- L'étude de quelques 26 huiles essentielles : les précautions d'emploiVoir exemple Romarin

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- L'étude de quelques 96 maladies. Pour chacune d'elles : définitions médicales actuelles, plusieurs traitements (détaillés) par les plantes médicinales suite

Ce qui nous en a été souvent rapporté : « c'est la première chose que je consulte quand je suis malade », « je l'ai toujours à portée de main », « même si je n'utilise pas toujours les traitements, il m'est rassurant de savoir qu'il existe encore des solutions naturelles contre les maladies », etc., etc.

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Urticaire

Commons licenceCC-BY-SA par auteur : Jamain

Nigella Damascena - Nigelle de Damas

L'urticaire : est une manifestation cutanée : inflammation de la peau en certains endroits sous la forme de moyennes et grandes plaques constituées de boursouflures blanchâtres qui ressemblent à des petites ou moyennes griffures. Il peut apparaître en un ou plusieurs endroits sur le corps, parfois au cuir chevelu. Le pubis n’est pas épargné. La réaction immédiate est de se gratter et encore se gratter ; parfois jusqu’au sang tellement ça démange ! ça mange ! ça dévore !

Voir à Gaillet

C’est la quantité trop importante d’histamine dans le corps qui est responsable de la réaction allergique : l’urticaire. Ce sont les neurones qui libèrent l’histamine (neurones histaminergiques) ,100 milliards de neurones constituent le système nerveux. Un neurone est une cellule nerveuse composé d’un corps et de prolongements plus ou moins ramifiés : les fibres nerveuses. Ils sont reliés entre eux par les synapses. Les neurones assurent la transmission d'un signal que l'on nomme influx nerveux. Sous l’impact d’un « choc émotif » (suite à un événement inattendu), c’est la quantité trop importante d’histamine libérée par les neurones qui est responsable de l’allergie.

Aromathérapie

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Commons licenceCC-BY-SA par auteur : Stéphane Tasson

Hypericum Perforatum - Mille - Pertuis

Voir à Géranium

En massage  :

préparation :

2 gouttes de Nigelle de Damas (Nigella damascena L. ) anti-inflammatoire-antihistaminique – mélangées à 1 cuillerée à café d’huile d’amande douce , en massage local.

Voir à Lavande

Attention :Nigelle de Damas : déconseillé aux femmes enceintes et allaitantes et aux enfants de moins de 6 ans- pas d’usage prolongé.

Phytothérapie

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Commons licenceCC-BY-SA par auteur : Yanyan de Téla Botanica

Galium Verum - Gaillet- Caille-Lait

Application locale :

Appliquer sur les endroits enflammés de l’huile d’amande douce infusée de gaillet jaune (efficace contre toutes les maladies de la peau) ou huile d’amande douce infusée de Millepertuis : atténue les sensations de brûlures, de picotements, de fourmillements.

Voir à Plantain

Voie orale :

Plantain (antihistaminiques – relaxant) 20 gr + Mauve (anti-inflammatoire- calmante) 5 gr : une cuillerée à café de ce mélange réduit en poudre, par tasse d’eau bouillante- laisser infuser 10 minutes – boire 2 à 3 tasses par jour pendant quelques jours.

Ou:

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Commons licenceCC-BY-SA par auteur :Wildfeuer

Nigella Damascena - Nigelle de Damas

Romarin stimulant circulatoire- restaurateur du système nerveux 10 gr + pensée sauvage (fleurs) antiprurigineux (qui calme les démangeaisons vives), diurétique- dépuratif (qui nettoie le sang , le purifie )  10 gr + guimauve (fleurs et feuilles), émollient ( qui calme les inflammations) + 3 feuilles de sauge, antibiotique - tonique et stimulant du foie : une cuillerée à café de ce mélange réduit en poudre par tasse d’eau bouillante ; laisser infuser 10 minutes, boire 2 à trois tasses par jour pendant quelques jours – alterner les deux tisanes pendant 2 x 5 jours par mois – puis pause – Renouveler quelques mois jusqu’à amélioration.

Voir à Millepertuis

Conseils:

Pour en connaître les causes, observer scrupuleusement ce qui s’est passé juste avant les crises, au besoin, l’écrire en notant le jour la date et l’heure, c’est important pour analyser par recoupement

Un apport de vitamine C et de magnésium sera complémentaire au traitement. Par son action, le magnésium collabore activement à la transmission des données entre les neurones.

La vitamine C retarde le vieillissement des cellules , stimule la formation du collagène (collagène pour la construction des os, les cartilages , les vaisseaux sanguins etc.), la vitamine C aide l’organisme à se débarrasser des toxines , les résidus dus aux médicaments chimiques etc.)

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Commons licenceCC-BY-SA par auteur : Domaine Public

Raphanus Satinus - Radis Roses

Les aliments comme le persil (vitamine A en quantité importante, B, C, magnésium, fer, calcium etc.)- la carotte (rajeunissant tissulaire- diurétique) - le radis noir(anti-allergique) - épinard – feuilles de radis roses – cresson, sont recommandés aux personnes souffrant d’urticaire. Mieux vaut consommer les aliments frais (la cuisson altère les vitamines).

Voir à Violette

Puisque pendant les crises, l’organisme contient de l’histamine en surdose, il faut lui permettre de l’éliminer par les voies naturelles en étant vigilant à ne pas réintroduire par l’alimentation des aliments qui en contiennent, car de nouveau la réaction se déclenche. Méfiance aussi avec certains médicaments

Voici une liste non exhaustive des aliments qui contiennent de l’histamine : -la levure de bière – les aliments fermentés (le vin, la bière, la choucroute etc.) – tous les poissons en conserve (le thon, les sardines etc.) – tous les poissons marinés (le hareng etc.) – la charcuterie (à éviter absolument : jambons, cervelas, rosettes , etc.) – les gibiers faisandés (lièvre marinés, etc.) – le chocolat et certains fromages comme le roquefort etc

Il y a également des aliments qui vont eux, provoquer le déclenchement de la production d’histamine :

Des fruits comme la banane, l’ananas, la fraise etc. - les boissons alcoolisées – les crustacés- les arachides (cacahuètes etc.…)- les légumineuses ( pois secs etc. ….) – le soja- les fèves- la tomate-

Phytopsychothérapie

photo_ananas

Commons licenceCC-BY-SA par auteur : Eric Bajart

Ananas Sativus - Ananas

Et si tout se passait à l’intérieur ? Sans toujours, cette fois, mettre en cause l’introduction d’une substance dans son organisme (allergie alimentaire, contact dermique etc.…), mais plutôt les défenses naturelles qui déclenchent la surproduction d’histamine, face au danger (trop forte émotion), envoyée à travers tout l’organisme, provoquant ainsi l’urticaire qui par la virulence des démangeaisons va sortir la personne des stupeurs du choc émotif qui la paralysent. Plus encore, sous la mémoire d’émotions fortes vécues, nous pouvons sur le senti d’une situation similaire, enclencher à notre insu, ce processus protecteur. Dans ce cas, dans ce corps en souffrance, l’événement extérieur aura moins d’emprise sur l’esprit. On peut avant tout, être allergique aux chocs émotifs. Qu’en pensez-vous ?

Voir à Mauve Sylvestre

L’histamine provoque une accélération cardiaque (normal puisqu il faut faire face au danger). Tout s’ensuit, les petites artères se relâchent ; les bronches, les muscles de l’intestin se contractent à la différence de l’utérus qui se décontracte. Si utiliser des antihistaminiques ou de la cortisone par voie orale ou en pommades peut momentanément soulager les démangeaisons, ça n’en n’éliminera pas pour autant les causes. Attention : les antihistaminiques (utilisés fréquemment contre les allergies) provoquent une somnolence.

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Commons licenceCC-BY-SA par auteur : Masparasol

Nasturtium Officinalis - Cressson (mieux vaut consommer le cresson cultivé)

Attention à la prise systématique de médicaments pour se soigner :
Les effets secondaires ne sont pas connus, ils peuvent apparaître des années plus tard voir même, sur les générations futures.

Voir à Cortisone

L’accoutumance : c’est un terme bien trompeur, elle précède la dépendance.

Pourquoi : quand nous apportons un complément à ce que l’organisme produit lui-même (ex : la cortisone), nous atrophions la glande productrice, il y a risque de dépendance au produit externe ; quand nous les utilisons (ex : les antihistaminiques), il y a aussi risque de dépendance à d’autres médicaments qui devront, l’un, apporter l’histamine manquante, l’autre, aider à réagir contre l’angoisse (anxiolytiques ou autre souvent prescrits en complément au traitement).

Voir à Sauge



Avertissement

Les informations et prescriptions médicales contenues dans notre livre  «  La phyto-psychothérapie» et notre site « les-inconscients.com » sont réservées à un publique d’adultes avertis et ne sauraient remplacer un avis autorisé des professionnels de la santé et se soustraire à leurs traitements.

Avant toutes automédications, consultez un praticien ou un « thérapeute qualifié ». Nous, auteurs éditeurs et propriétaire de ce site, ne sauraient être tenus pour responsables d’un quelconque problème lié à l’usage des différentes prescriptions.